3 février 2008
Jazz à Ginza
Je crois bien que le jazz est devenu ringard au possible.
Vendredi soir, en quête d'un peu de musique, on se retrouve dans une "boîte" de jazz, au deuxième sous-sol.
Décor suranné. Salle à moitié remplie d'hommes en col blanc et l'autre moitié, vide.
Des musiciens aux yeux cernés.
Un ancien crooner bossu.
Et une seule femme qui applaudissait comme un otarie, la belle de la soirée, le cygne.
Sur qui tous les appareils photos étaient braqués.
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M